L’encre de la destinee

Le silence pesait sur l’abbaye en tant qu' un suaire. Le vent qui s’infiltrait par les fissures des murs semblait revêtir des murmures indistincts, par exemple si la joyau elle-même conservait la évocation des âmes disparues. Le moine restait prostré destinées à le manuscrit, sa souffle saccadée, les tout crispées sur le rebord de la table. L’image du frère inanimé dans le portemanteau ne quittait pas son être. Les leçons de la voyance par mail lui revinrent en avertissement. Il avait des anciens temps lu des récits parlant de textes maudits, des dossiers qui s’adaptaient aux des fêtes évident qu’ils ne surviennent. Ce qu’il avait sous les yeux n’était pas un facile manuscrit traditionnel. C’était un artefact capable d’annoncer la mort, une prédiction dont on ne pouvait s’échapper. L’encre rubicond vibrait à la éclaircissement tremblante de la chandelle. Les initiales, par exemple des veines palpitantes, s’effaçaient lentement pour faire savoir sa place à une nouvelle inscription. Il savait ce qui allait adevenir. Un futuriste pseudonyme allait apparaître. Une nouvelle victime, condamnée évident même d’avoir compris son destin. Le moine aurait requis éloigner les yeux, mais un sens invisible le retenait. La voyance par mail 5 € enseignait que toute prophétie dévoilée créait une chaîne d’événements inévitables. Lire, c’était émoustiller. Voir, c’était envoûter l’ordre du communauté. Et cependant, il ne put s’empêcher de fixer les prénoms qui prenaient forme marqué par ses yeux. Un frisson parcourut son échine. Le marque écrit sur le parchemin lui était acquis. Trop psychologies. Ses doigt se crispèrent sur le abruptement de la table, tandis que la émoi s’insinuait dans n'importe quel parcelle de ses énergies. C’était un appellation qu’il avait prononcé journalierement, un désignation qu’il entendait carillonner dans les prières et les démêlés murmurées sous les voûtes de l’abbaye. C’était le sien. Il recula brutalement, renversant sa chaise. Son cœur battait violemment dans sa cuisse. S’il croyait encore bienfait ne pas faire ce avenir, il savait dès maintenant que le destin venait de se refermer sur lui comme un piège. Les prénoms écarlates brillaient sur la page. Il ne lui restait plus qu’une heure. Une heure évident que son patronyme ne quitte à devoir ce manuscrit pour ajouter les personnes des âmes errantes.

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